Encore et toujours du dénivelé, mais une étape pas trop longue.
En chemin, nous ramassons des girolles (on a le temps aujourd’hui).
Lors d’une pause, André s’aperçoit que les tennis qu’il portait accrochées au dos de son sac à dos, ont disparu.
Il fait demi-tour sur quelques centaines de mètres, en vain !
A la Pierre Saint Martin, le brouillard est intense, et c’est dans ces conditions que nous faisons cuire nos girolles grâce à la bouteille d’huile qui ne me quitte pas ; fini les quolibets !